DÉRIVÉS DE L'ÉPIDERME ANIMAL

Les dérivés épidermiques des animaux de compagnie sont libérés par la salive, les squames et l’urine des chiens et des chats, ainsi que des oiseaux et des cafards. Une fois séchées et fragmentées, elles restent en suspension dans l’air sous forme de poussière.

En France, une source importante d’allergènes intérieurs est constituée par les animaux domestiques, et en particulier les chats. Le chat est un facteur de risque d’allergies non seulement à la maison, mais aussi dans les bureaux, les écoles et probablement dans tous les environnements communautaires.

L’allergène le plus important est identifié par l’acronyme Fel d 1 et est localisé principalement dans les cheveux et, dans une moindre mesure, dans la salive. Contrairement aux acariens, les allergènes de chat sont associés à de très petites particules, de 2,5 μm ou moins de diamètre. Étant très légères, les particules restent en suspension dans l’air en très grande quantité et pendant longtemps et, lorsqu’elles se précipitent, elles s’accumulent dans les tissus d’ameublement, les rideaux, les tapis, les tapisseries, où elles restent longtemps même après que l’animal a été enlevé. Dans les environnements où les animaux ont vécu, il faut au moins six mois après leur retrait pour que les niveaux de concentration reviennent à ceux où l’animal n’est pas présent.

Les allergènes peuvent être transportés par les vêtements et peuvent être trouvés même dans des environnements où les animaux n’ont jamais été présents.

Effets sur la santé

La présence d’allergènes de chat peut entraîner une sensibilisation des sujets non sensibilisés et, surtout, induire ou aggraver des symptômes (rhinoconjonctivite et crises d’asthme) chez les sujets allergiques.

Les problèmes d’origine allergique causés par les squames, les poils et la salive des chiens semblent être moins fréquents en France que ceux causés par le chat, mais il y a des doutes à ce sujet.

Effets sur la santé

La présence d’allergènes de chat peut entraîner une sensibilisation des sujets non sensibilisés et, surtout, induire ou aggraver des symptômes (rhinoconjonctivite et crises d’asthme) chez les sujets allergiques.

Les problèmes d’origine allergique causés par les squames, les poils et la salive des chiens semblent être moins fréquents en France que ceux causés par le chat, mais il y a des doutes à ce sujet.

Mesures visant à réduire l'exposition

Nettoyage

Un nettoyage adéquat des environnements dans lesquels l’animal vit.

Air

Echange d’air et expulsion correcte des polluants vers l’extérieur.

Vêtements

Les vêtements transportent des allergènes dans des environnements confinés.

LA SOLUTION

Système de nettoyage intégré

Un système intégré simple et durable. Le seul au monde qui expulse les micro-poussières, les acariens, les allergènes, les polluants, les bactéries et les virus avec un nettoyage ordinaire.